Les commerces du village ont été des lieux de vie, de convivialité, de rencontres – épiceries, cafés… – jusqu’au développement de la grande distribution et de la voiture particulière, au cours des années 1970 et 1980.

La généralisation de la consommation de masse a eu raison des commerces de détails, surtout dans l’alimentaire, qui ont presque tous disparu. Aujourd’hui, il ne reste au village que la boulangerie et la fruitière en version libre service automatique.